Alors qu’elle ne s’est pas produite au Liban depuis deux ans, Marie-Joe Abi Nassif revient en beauté, dans un récital à l’AUB, Assembly Hall, accompagnée par un orchestre de chambre sous la direction du Père Toufic Maatouk.
Vous venez d’être nommée associée dans un grand cabinet d’avocats new-yorkais, et vous poursuivez en même temps une carrière lyrique. Comment conciliez-vous ces deux activités extrêmement prenantes ?
Vous vous déplacez entre New-York, Paris, Bologne et Beyrouth ?
Votre répertoire de prédilection se situe entre le bel canto italien et l’opéra romantique français. Qu’allez-vous interpréter lors du concert de clôture de Beirut Chants ?
Éclectique en effet ! Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?
C’est un marathon stylistique ! Mais n’est-il pas dangereux pour la voix ?